28 FEVRIER 2016
The Fairy Queen.
Soprano : Alto : Ténor : Basse :If love’s a sweet passion why does it torment? If a bitter, oh tell me, whence comes my content? Since I suffer with pleasure, why should I complain, or grieve at my fate, when I know it’s in vain? Yet so pleasing the pain is so soft as the dart, That at once it both wounds me and tickles my heart. I press her hand gently, look languishing down, and by passionate silence I make my love known. But oh! How I’m blest when so kind she does prove, by some willing mistake to discover her love. When in striving to hide, she reveals her flame, and in our eyes tell each other what neither dares name. | Si l’amour est une douce passion pourquoi tourmente-t’il ? S’il est amer, oh dis-moi, d’où vient mon contentement ? Si que je souffre avec plaisir, pourquoi devrais-je me plaindre, ou pleurer de mon sort, quand je sais que c’est en egoiste ? Pourtant, si agréable est la douleur que la fléchette à la fois me blesse et chatouille mon cœur. Je presse doucement sa main et regarde alanguis le sol, et par le silence passionné Je fais connaître mon amour Mais, oh! Comme je suis béni quand elle se révèle si gentille, par une erreur volontaire à découvrir son amour. Quand en s’efforçant de la cacher elle révèle sa flamme, et nos yeux se racontent ce qu’aucun n’ose nommer. |